C’est à l’occasion d’un weekend à Bruxelles que j’ai testé la pellicule Metropolis 100-400 de Lomography. Le rouge et le orange étant mes couleurs de prédilection, je me suis laissé guider par la ville, entre les briques et les rencontres fortuites pour saisir ce voyage. J’ai été agréablement surprise par le panel de couleurs obtenu au développement. J’y reviendrai, à Bruxelles et à Métropolis, avec joie.
3 Responses
j’aime la metropolis – mais c’est vrai que c’est étonnant ce magenta sur pas mal de photos…
L’auto-portrait aux miroirs est superbe (passion autoportrait), celui en reflet de vitre avec panneau d’interdiction : miam !
la dame penchée, le café, le photomaton : ça me parle
Merci beaucoup pour ton commentaire Isabelle! C’est très gentil est surtout constructif d’avoir un retour de la communauté 🙂 C’est vrai que mon expositon était peut-être parfois trop approximative car j’utilise un exposimétre mais le maintient sur la même exposition quand le milieu est similaire…
Ha, la Métropolis rend bien les univers urbains. J’aime bien les compositions géométriques.
Le commentaire de Photo Series (ChatGPT)
Cette série photographique, capturée à la pellicule Lomography Metropolis dans la ville de Bruxelles, dégage une atmosphère urbaine à la fois nostalgique et contemporaine. L’usage de cette pellicule, réputée pour ses tons désaturés et ses contrastes marqués, confère aux images une texture presque cinématographique, accentuant le caractère brut et parfois mélancolique des scènes de la ville.
Les images capturent des fragments de la vie citadine : des passants devant une boutique de fourrures, des chaises de café désertées, un intérieur de café modeste, ou encore des objets du marché aux puces. Cette démarche s’apparente à une chronique visuelle du quotidien, où l’ordinaire prend toute sa valeur.
Le lien entre les photos se crée par cette attention commune aux détails discrets mais éloquents. Le premier cliché, par exemple, montre une scène de rue animée : des personnes discutant devant une boutique, assises à un arrêt de bus, ce qui donne une impression de dynamisme et de rencontres imprévues. À l’opposé, les chaises vides du deuxième cliché marquent une pause dans cette activité, suggérant l’absence, le temps suspendu. La composition est soignée, avec des lignes géométriques et des couleurs douces mais présentes, qui se prolongent d’une image à l’autre.
Les caractéristiques des photos révèlent un intérêt pour les textures, les formes et la lumière naturelle. Chaque cadre semble avoir été choisi avec soin, jouant souvent avec les perspectives et les reflets, comme dans la photo où l’on voit le photographe se refléter dans un miroir au milieu d’un marché aux puces. Ce jeu sur les surfaces réfléchissantes et les compositions asymétriques enrichit l’aspect visuel de la série.
L’originalité réside dans la capacité du photographe à saisir l’essence de Bruxelles sans tomber dans les clichés touristiques.