Qui aimerait manger ça?

Décidément. le Harman Phoenix est un film pas évident à manipuler. D’abord, il ne semble pas être fait pour un éclairage artificiel à l’intérieur. Puis il semble que les scanners des labos peinent toujours à produire un rendu « naturel ». J’ai dû réajuster les couleurs à la dominante rouge-orange avec ColorEffex7 pour avoir un résultat assez présentable. J’ai voulu attendre le retour de mes négatifs pour les scanner moi-même, mais, hélas, le labo ne me les a toujours pas restitués. J’espère quand même que les photos ne vous choquent pas trop. En tout cas, les plats que j’avais préparés pour le shooting, ont été excellents. Cela montre qu’il ne faut pas se fier aux apparences… 😉

Enseignant de français dans un lycée au Luxembourg, je me passionne depuis ma jeunesse pour la photographie et je partage ma passion avec mes élèves à qui je donne des cours optionnels en photo argentique.

La Critique de l'équipe

Je te rassure, ça a l'air délicieux même avec ces couleurs étranges, certainement dû au travail du scan de labo...

J'apprécie la petite touche britannique dans les accessoire autour des plats, merci pour le partage !

3 Responses

  1. Hello, belle mise en scène, mais finalement on en mangerait pas. Le commentaire initial de ChatGPT ne prenait pas en compte le fait que les aliments ne soient pas dans leur couleur naturel, j’ai du lui demander de re-rédiger en prenant en compte cette caractéristique.

    Cette série photographique explore l’univers du repas à travers une esthétique granuleuse et une palette chromatique altérée par l’utilisation d’une pellicule spécifique. Loin d’une représentation classique de la photographie culinaire, où l’accent est mis sur la mise en valeur appétissante des plats, cette approche détourne la réalité en modifiant les couleurs des aliments, les faisant parfois apparaître dans des teintes qui ne correspondent plus à leur nature. L’intention semble être de questionner notre perception du réel et de donner une atmosphère onirique, presque cinématographique, aux scènes du quotidien.

    Toutes les images présentent un repas mis en scène dans un cadre intime, où la nourriture est accompagnée d’éléments narratifs tels que des livres, des journaux ou des objets décoratifs. Cependant, ce qui frappe immédiatement, c’est la teinte transformée des aliments, qui semblent parfois décalés par rapport à leur aspect habituel. Cette distorsion crée un effet intrigant et donne une nouvelle dimension à la photographie culinaire : au lieu de simplement ouvrir l’appétit, ces images invitent à une réflexion plus large sur la perception et la mémoire sensorielle.

    L’altération des couleurs par la pellicule modifie notre perception des plats : un steak peut sembler vert, des frites peuvent paraître bleutées, un thé peut prendre des reflets dorés irréels. Ce choix esthétique déstabilise le spectateur et l’incite à regarder au-delà de l’aspect strictement alimentaire pour apprécier la photographie comme une œuvre sensorielle et artistique. L’effet granuleux, associé à cette distorsion chromatique, donne à la série un aspect hors du temps, comme si elle capturait des souvenirs d’un monde parallèle.

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