J’ai profité d’une journée glaciale et pluvieuse à Grenoble pour tirer des vues de la Chartreuse, lorsque le massif embrumé était balloté dans le vent et la pluie. Des silhouettes fantomatiques des arbres, des pylônes et des immeubles pointent dans les nuages, à peine distinguables. Je suis particulièrement satisfait de cette rupture Terre/Ciel très contrastée, qui met l’accent sur les bâtiments et la végétation qui en forment la limite. Le film F rend très bien la disparition des formes à travers la brume, à mesure qu’elle les happe.
Une réponse
J’adore l’ambiance de cette série !
Quelle bonne idée d’avoir essayer – et réussi ! – à choper la brume – brouillard – c’est intense et mystérieux avec ce film. On pourrait voir Nosferatu surgir.