Je dois dire, qu’à la présentation de cette pellicule, j’ai tout de suite adorée son contraste naturel. Et n’ayant pas de filtre de couleurs chez moi, je me suis dit, qu’il m’était préférable de m’essayer au défi esthétique.
Je me suis donc appropriée rapidement l’aspect cinématographique du titre et je me suis inspirée de quelques films noirs asiatiques.
Et si je vous disais que Rebenok* n’était pas seul ?
* Bébé en Russe, c’est aussi la dernière pièce dans la Matriochkas.