Voici, pour moi, l’objectif d’une numérisation maison : Obtenir une image de meilleure qualité possible, à un prix le plus raisonnable possible.
Cependant, pour une numérisation qualitative, un minimum d’investissement sera nécessaires, tant sur le plan matériel que logiciel. Passons rapidement en revue les différents type de scanner disponible que je te conseille.
Les différents type de scanner
Le scanner à plat “a tout faire” : Le gros avantage des scanner à plat, c’est qu’ils sont souvent capable de numériser plusieurs format de négatif (à l’exception des modèle d’entrée de gamme, souvent limités au 35mm). Ils sont généralement très abordable, autour de 200€ neuf pour les modèles d’entrée de gamme, et jusqu’a 850€ pour les modèle haut-de-gamme qui numériseront aussi bien les négatif 35mm que ceux issues de chambre photographique 4×5 et 8×10.
Dernier avantage des scanner à plat, il numérise aussi les document et le tirage dans une qualité bien supérieure à ce que ferait le scanner d’une imprimante 2 en 1 : Pratique si, en plus de négatifs, tu veux numériser des polaroïd ou des tirage papier.
Leur inconvénient majeur reste que, comme tout solution tout-en-un, la qualité des images n’est pas toujours la meilleurs, surtout pour les petits format comme le 35mm.
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35mm : Suffisant pour du partage en ligne et petit tirage jusqu’au 13×18
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120 et grand format : bonne qualité pour du tirage standard : Plus le négatif de départ est grand, meilleure sera la qualité
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Conseil de scanner
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V550 – 35mm et MF
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V750 – 35mm, MF et GF, système double optique pour une meilleure qualitay
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V850 – 35mm, MF et GF, système double optique pour une meilleur qualitay
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Le scanner dédié à un format (souvent, le 35mm, qui est le plus difficile à numériser en raison de sa petite taille)
Nous l’avons vu, numériser un négatif 35mm est une tâche complexe pour un scanner 35mm : Le format est petit, et les scanner à plat sont souvent limitée par une résolution optique trop faible pour les numériser en haute résolution. Si l’on souhaite réalisé des tirages qualitatif au dessus du 13×18, ou bénéficier de fichier haute résolutions, il faudra se tourner vers un scanner dédié à ce format.
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Les scanner dédiés proposent des résolution optique réel deux à trois fois supérieur aux scanner à plat, ce qui est essentiel pour tirer le maximum d’un négatif 35mm
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Leur désavantage, est qu’il sont dédié à un seul format, et sont assez coûteux (au minimum, autour de 300€ neuf pour un modèle “entrée de gamme”)
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Il existe des scanner dédié double format, 35mm et 120, comme le Reflecta M5000, mais le tarif est plutôt autour de 2000€ : Mieux vaudra investir dans deux scanners (un dédié 35m + scanner à plat pour les autres formats), où l’on pourra faire une petit économie, en choisissant deux modèles moyenne gamme dans chaque catégorie.
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C’est la solution que j’ai choisi de mon côté, avec un Reflecta RPS 10M, un scanner plutôt haut de gamme pour le 35mm, et un epson V550 pour le moyen format (je ne fait pas encore de grand format)
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L’appareil photo numérique + optique macro
Une vraie nouvelle tendance de la numérisation en argentique : si tu possèdes déjà un appareil photo numérique et une optique macro, tu peux facilement numériser tes négatifs en ajoutant une table lumineuse. Il existe également de nombreuses solution d’avancement du film, notamment le Valoi.
Cette méthode à l’avantage d’être très rapide et qualitative, mais nécessite un soin partculier dans la gestion des poussières et des rayures sur le film, qui ne peuvent pas être effacée par logiciel comme sur un scanner. Il faudra forcément passer par un nettoyage manuel ou semi-manuel des poussières sur le négatif.
Cette solution nécessite aussi l’utilisation d’un logiciel d’inversion spécifique, comme Negative Lab Pro ou Negmaster.